jeudi 24 décembre 2015

NORVEGE : Vaccinée de force avec le Gardasil




(Par la maman de Caroline Stine-Marie Buer Hasvold) 


Caroline est née en 2000, et elle a maintenant 15 ans. Ma fille est très sociable, pleine d’énergie. Elle fait du vélo, elle joue football avec ses amis. Elle a toujours eu bon appétit.

La seule information que nous avons eue lorsque le vaccin Gardasil a été proposé était le fait qu’il pouvait causer des symptômes semblables à la grippe, mais qui n’étaient que temporaires comme c’est le cas pour les autres vaccins pour enfants.

Malgré le fait que j’avais expressément pris la précaution d’écrire une note dans son journal de classe, précisant que si Caroline ne voulait pas recevoir le vaccin, on NE DEVAIT PAS le lui administrer, Caroline fut maintenue par une infirmière, tandis qu’une autre lui administrait le vaccin !

Quelques jours plus tard, la moitié du visage de Caroline fut paralysé. Elle fut immédiatement admise à l’hôpital local  où des tests furent effectués. Rien ne fut cependant décelé. Je leur ai expliqué que j’étais certaine que le Gardasil était la cause de ses problèmes, mais ils ne voulurent pas m’écouter.

Ce fut le seul examen auquel Caroline fut soumise depuis l’administration du vaccin. Nous n’avons pas eu de suivi dans la suite parce que les médecins de l’hôpital n’arrêtaient pas de dire que ses problèmes étaient psychologiques. Ils soutenaient que les symptômes étaient apparus six mois après le décès de la grand-mère de Caroline. C’était donc la douleur que Caroline avait éprouvée au décès de sa grand-mère qui avait déclenché tous ses problèmes ! Faut-il dire que Caroline n’avait reçu que la première des trois injections recommandées.

Aucun médecin n’a voulu écouter. Ils ont prétendu que Caroline a besoin d’une thérapie psychologique pour le chagrin qu’elle a éprouvé après le décès de sa grand-mère. Elle n’a donc plus passé de tests ou suivi quelque traitement que ce soit vu que ces thérapeutes ne voulaient pas nous croire.

Aujourd’hui, elle souffre de douleurs dans tout le corps et ne demande qu’une seule chose : pouvoir dormir. Elle se sent tout le temps malade. Elle peut à peine faire l’une ou l’autre petite chose. Elle a des problèmes de mémoire, des palpitations cardiaques, des douleurs atroces au niveau thoracique, ainsi que des difficultés respiratoires. Elle souffre aussi de maux de tête et n’a guère d’appétit.

Le seul fait de se rendre à la salle de bains la fatigue énormément. Ses jambes trop faibles lui rendent la marche ou le vélo quasiment impossible. La plupart du temps elle est clouée au lit.

Elle va à l’école quand ses jambes le lui permettent. Quand elle est trop faible, je la conduis en voiture. A l’école, elle ne trouve guère de soutien et de compréhension. Ce printemps, elle a dû s’absenter plus de huit jours. Sa cote finale n’a été que de 2 ! En automne, elle a dû s’absenter 15 jours. Il lui faut beaucoup de temps pour étudier et faire ses devoirs parce qu’il lui est très difficile de se concentrer, vu qu’elle souffre constamment et se sent très fatiguée, à la fois mentalement et physiquement. Elle ne voit plus très bien d’un œil.

La suite de cet article sur le site d'Initiative Citoyenne                   

Nous ne ferons aucun commentaire, aucun ! Mais, devant toutes les révélations faites concernant les vaccins et leurs effets secondaires nous sommes en droit de nous interroger.
Il est plus qu'évident qu'il faut des études scientifiques (réellement indépendantes) afin de comprendre les raisons de tels effets secondaires et surtout faire en sorte de ne pas créer d'autres cas en vaccinant avec des produits devenant de plus en plus douteux et en l'état toxiques pour certains.
Nous sommes à la limite d'une situation qui pourrait entraîner bien des actions aux Assises car administrer un vaccin qui s'avère être un poison, c'est de toute évidence un acte qui peut être qualifié de criminel.
Pour ne pas conclure...

dimanche 6 décembre 2015

Vaccination: Un pédiatre injustement inquiété, à soutenir d'urgence!


Pour plus d'informations voir le site Initiative citoyenne.



PÉTITION DE SOUTIEN AU DOCTEUR BRY DE TOURS

Un jeune enfant de 9 ans a été admis en juin 2015 à l'Hôpital de Tours pour un tétanos suite à une blessure. Après son séjour hospitalier, cet enfant, hors de danger, a pu reprendre le chemin de l’école et ses activités sportives dès septembre.

Dans le contexte du débat actuel sur les vaccinations, le Dr Bry, pédiatre homéopathe de l’enfant, exerçant près de Tours (37), subit des poursuites, sûrement pour l’exemple, des institutions de santé et judiciaires l’accusant d'avoir fait un faux certificat de vaccination faisant ainsi les choux gras de la presse.
Une procédure pénale est en cours d’instruction et une mesure de suspension conservatoire a été prononcée par l’Agence Régionale de Santé du Val de Loire (ARS) depuis le 9 octobre dernier. Cette dernière considère que les pratiques du Dr Bry représentent « un danger pour la population » et qu’il est urgent d’y remédier en l’arrêtant dans ses activités.
Cet enfant avait bien été vacciné à plusieurs reprises conformément aux lois d'obligations vaccinales en 2008 et 2009. Le carnet de santé de l’enfant atteste de ces vaccinations et elles ont été confirmées à la fois par le Dr Bry et par la famille de l’enfant à deux reprises ( dont devant un Officier de Police Judiciaire ) , confirmations surprenantes si l’enfant n’avait pas été réellement vacciné.
En réalité tout part de la croyance que la vaccination protège tous les individus:
En théorie, si on est vacciné, on développe des anticorps et ces anticorps sont protecteurs. Si l’enfant a le tétanos, et qu’il n’a pas d’anticorps, c’est donc qu’il n’a pas été vacciné. Si son carnet de santé porte la signature d’un médecin, de surcroît homéopathe, c’est que ce dernier a nécessairement menti et que les parents mentent aussi.
Cette vision simpliste occulte une réalité scientifique qui admet qu’une vaccination n’entraîne pas automatiquement une immunisation et que toute immunisation n’entraîne pas de fait une protection.
Pour preuve, durant son hospitalisation l’enfant a de nouveau reçu 2 doses de vaccins contre le tétanos ; malgré cela il n'a pas été constaté d'élévation significative des anticorps contre le tétanos à ce jour.
Prétendre donc que cet enfant a eu le tétanos à cause de son médecin qui aurait fait un faux est calomnieux car le tétanos est une maladie non immunisante. 
Comment un vaccin pourrait -il protéger contre une maladie qui naturellement ne protège pas ?
La raison pour laquelle cet enfant a eu le tétanos est sans doute plus à rechercher dans la façon dont la plaie a été traitée en milieu hospitalier, plutôt que dans une prétendue absence de vaccination qu'on ne peut pas scientifiquement démontrer.
La mesure de suspension dont est victime le Dr Bry a été prise en ce début d’automne, sans respect pour les nombreux jeunes patients qu’il suit. Leurs parents se retrouvent du jour au lendemain dans l'embarras à chercher un médecin de confiance vers qui se tourner pour faire soigner leurs nourrissons et leurs enfants.
Cette décision arbitraire met dans de grandes difficultés financières un pédiatre et renie une activité de soins bienveillante et efficace de 28 ans, durant laquelle aucun patient n’a eu à pâtir d’une erreur de diagnostic, d’un traitement inapproprié ou d’une faute médicale. A l'opposé, les patients manifestent en nombre leur soutien et leur confiance renouvelée.

Nous appelons donc à un soutien du Docteur Bry pour que :
    •    le Conseil de l'Ordre n'outrepasse pas ses fonctions, et notamment que ce conseil se base sur les données actuelles et disponibles de la Science et de l'Art de la Médecine, sans occulter les études qui ne lui conviennent pas.
    •    Le tribunal de Tours ne perquisitionne que le dossier médical concerné dans le cadre de cette enquête, les dossiers des autres patients leur appartenant et relevant du secret médical.
    •    Le Dr Bry puisse ré-exercer dans les meilleurs délais, car il est démontré qu'il n’a commis aucune faute et qu’il ne représente en aucun cas un risque pour la Santé Publique ni pour la santé de ses nombreux patients. Le Dr Bry a reçu à ce jour plus de 200 attestations juridiquement recevables de patients qui témoignent de leur satisfaction et de son sérieux professionnel.
Adressée à
Conseil de l'ordre des médecins Centre Val de Loire
TGI de Tours
SOUTIEN AU DR BRY
pédiatre suspendu et poursuivi sur des accusations mensongères

Signez la pétition de soutien à ce pédiatre


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Ceci écrit, nous nous étonnons que le vaccin du tétanos ne fasse pas plus l'objet d'études approfondies sachant que :
 "Le tétanos est une maladie non immunisante, on ne trouve pas d'anticorps ...
Comment alors pouvoir prétendre qu'un vaccin, qui engendre des anticorps, va être capable de créer une immunité et donc de protéger les individus du tétanos ? .... Dans notre corps, sa présence ne peut que perturber gravement l'organisme."

(Note du Webmaster )



lundi 9 novembre 2015

Une famille poursuivie en justice pour avoir refusé que son enfant soit vacciné

Après les parents Larère (dont l'affaire est toujours en cours et sera réouverte le 14 décembre prochain), c'est sur la famille Lecomte que s'acharnent cette fois les officiels avec un procès qui s'ouvre aujourd'hui même. 
Alors que les médias se jettent sur ces affaires pour étiqueter ces parents d' "antivaccins", nous vous rappelons que ce terme ne veut plus rien dire dans un contexte où la pression vaccinale a atteint des sommets et où les vaccins obligatoires (sans autres valences ajoutées) ont été rendus volontairement indisponibles par une collusion entre l'establishment et les firmes, celles-ci étant qualifiées de "partenaires naturels" dans un rapport du Sénat français de 2007 (1).

Pour plus d'informations


1) Extrait du rapport N°476 du 28 septembre 2007:

 « Au-delà de son objectif de court terme d'améliorer le taux de couverture de la population, la politique vaccinale doit, à plus long terme, être en mesure de répondre aux besoins en matière de recherche et de production nationales de vaccins et aussi de jouer un rôle moteur dans l'aide aux pays les plus pauvres. Pour relever ces défis, les laboratoires pharmaceutiques constituent les partenaires naturels des pouvoirs publics, en raison des moyens humains, techniques et financiers qu'ils mobilisent. En effet, le marché mondial du vaccin est en constante expansion, avec une augmentation des ventes de 13 % à 14 % chaque année, soit deux fois plus que les médicaments traditionnels. » 

Après les cowboys, les cobayes...

samedi 31 octobre 2015

La douleur d’une maman qui a perdu son petit garçon

Lettre ouverte de  Becky Hastings qui a perdu son petit garçon de 2 mois après une série de vaccins !... 
 
 
Joureney Boost, 28 octobre 2015
Mon histoire.
Je veux que le monde entier sache !
S’il vous plaît, copiez, partagez, citez- faites tout ce que vous pouvez pour que le monde sache !
LES DOMMAGES CAUSES PAR LES VACCINS SONT BIEN REELS !
Le RISQUE EXISTE VRAIMENT ! Votre enfant n’est nullement à l’abri. Les vaccins peuvent frapper ceux qui s’y attendent le moins – comme ce fut mon cas.
Je m’appelle Suzanne Fuhri. J’ai deux filles qui sont nées en 1994 et 1995. Mes filles ont reçu leurs vaccins quand elles étaient petites. Je n’ai dès lors pas pensé qu’il me fallait faire une recherche personnelle quand mon petit garçon est né. Je ne savais pas que le programme de vaccinations avait été modifié. Aujourd’hui, les bébés reçoivent beaucoup plus de vaccins.
Mon fils, Tommy est né le 28 septembre 2012. Le 29 novembre 2012, alors qu’il avait deux mois, je l’ai conduit à sa première visite médicale. Deux jours plus tard, il était mort !
Je vis ma vie de tous les jours avec un cœur brisé. En ce qui vous concerne, vous avez le pouvoir d’éviter pareil drame à votre famille.
C’est chaque jour que je me pose la même question : comment ai-je pu les laisser faire pareille chose à mon bébé ?
Le médecin a injecté tous ces vaccins à mon petit garçon, et je lui faisais confiance ! Je croyais en toute confiance que les vaccins qu’il administrait à mon petit étaient tout à fait sans danger.
Ce médecin et tout son personnel ont été mis au courant du décès de mon fils – ils n’ont cependant jamais pris la peine de téléphoner ou d’envoyer le moindre mot. Ils savaient pourtant que Tommy était mort. Ils ne s’en sont guère souciés. Se seraient-ils dit qu’ils ne feraient plus d’argent avec nous parce qu’il n’y aurait jamais plus de visite médicale et des VACCINS POISONS ?
 Mon petit me manque tellement !
Aujourd’hui ça me fend le cœur de réaliser que je n’avais pas fait mes propres recherches sur les vaccins. Pourtant l’information était disponible à peu près partout. Il suffisait que je me donne la peine de me renseigner.
Je pensais vraiment bien faire.Je pensais que je faisais la meilleure chose au monde pour mon petit Tommy.C’est après la toute première série de vaccins que j’ai perdu mon petit garçon.
Aujourd’hui mes bras sont vides, douloureusement vides !
A vous, parents, je voudrais vous prier de permettre que ma douleur puisse vous aider à prendre une décision sage. J’avais pensé qu’il n’y aurait aucun problème avec Tommy. J’avais tort ! Impossible de « retirer » une vaccination une fois qu’elle a été faite !
Comment est-il pensable que l’on puisse injecter tous ces ingrédients toxiques dans un petit corps  fragile qui ne peut  se défendre ET QUE L’ON INJECTE AUTANT DE VACCINS A LA FOIS !
 
 

IL EST TERRIBLE DE REALISER QU’IL EST IMPOSSIBLE DE REVENIR EN ARRIERE ! MON PETIT TOMMY EST PARTI !

Je pensais avoir un médecin de confiance, aimable, rempli de compassion. Je pensais que les vaccins étaient sans danger.
Les médecins sont payés. Ils injectent des vaccins qui peuvent s’avérer mortels ou provoquer de graves dommages chez certains bébés. Ils savant que ces risques existent, mais chaque vaccination rapporte de l’argent…
Même un seul vaccin peut être le vaccin de trop !
Il a malheureusement fallu que je perde mon petit garçon pour pouvoir apprendre la vérité, pour pouvoir apprendre que les vaccins peuvent être dangereux. 
 
Pourquoi n’ai-je pas fait confiance à la Nature ? 
Elle nous a donné un système immunitaire pour nous défendre contre les infections et les maladies.

Je vous en prie, ne prenez pas le risque. Cela n’en vaut pas la peine. Il y a tellement de choses qu’il est possible de faire pour se maintenir en bonne santé. 
 
Les vaccins sont TROP DANGEREUX !
 
 

Je ne puis malheureusement faire revenir mon petit garçon, mais je puis évoquer ma douleur pour avertir d’autres parents. Je voudrais vous exhorter de faire les recherches que j’ai omises de faire.
 
Sources:
http://initiativecitoyenne.be/   (1)


 

1) Merci à l'équipe d'Initiative Citoyenne pour avoir traduit ce texte, et, nous avoir autorisé à le reproduire  dans sa totalité.

samedi 6 juin 2015

RETRAIT DE 700 GÉNÉRIQUES...

Alors que l’EMA vient de recommander l’interdiction de 700 génériques aux résultats manipulés par la société Indienne GVK Biosciences, la belle politique du tout générique commence à être de plus en plus douteuse...

Malgré les assertions des autorités sanitaires selon lesquelles les génériques sont la copie conforme des produits princeps, il apparait que les dossiers de 700 génériques dont certains étaient autorisés et consommés par des patients depuis 2004, soit plus de 10 ans, était falsifiés. Ces dossiers avaient en partie été réalisés par la société Indienne GVK bioscience.
C’est un contrôle bien tardif des autorités sanitaires qui a révélé ces falsifications qui ont permis à nombre de génériqueurs ayant pignon sur rue à importer et vendre en toute impunité des médicaments dont la sécurité d’emploi n’était pas démontrée.
Le CHMP (agency’s Committee for Medicinal Products for Human Use) a examiné plus de 1000 génériques étant passés entre les mains de la société GVK bioscience ; il a conclut que pour 300 d’entre eux, les documents revus permettaient de les laisser sur le marché mais réclame le retrait immédiat des 700 autres.

Ainsi, alors que les génériques étaient censés apporter aux patients, une qualité de produits identiques à moindre coût, le voile se lève sur les pratiques des génériqueurs. Pourtant aucune polémique ne semble naitre ; d’abord par ce que les autorités sanitaires, malgré leur communication rassurante auprès du public, savent pertinemment que nombre de défauts de production existent, bien qu’ils ne soient révélés que par des contrôles qui restent rares et très insuffisants, mais aussi parce que ces mêmes autorités n’ont aujourd’hui plus le choix. Interdire brutalement l’importation de génériques provoquerait une pénurie de médicaments.

Le grand n'importe quoi : dans sa recommandation de retrait le CHMP autorise les autorités sanitaires des pays Européens à écouler les stocks de médicaments jugés non conformes si ceux-ci restent indispensables au patients...médicaments aux résultats falsifiés mais utilisables pour les patients...des placebos en quelque sorte.

Source
Products for which the marketing authorisations are recommended for suspension by the CHMP on 22 January 2015 (liste des 700 génériques interdits en Europe).



lundi 18 mai 2015

L'OMS a publié la nouvelle édition de sa liste de médicaments essentiels

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) vient de publier la nouvelle édition de sa liste modèle des médicaments essentiels, qui comprend entre autres des traitements novateurs contre l’hépatite C, un certain nombre de cancers (notamment le cancer du sein et la leucémie) ainsi que la tuberculose multirésistante. La réunion du vingtième Comité d’experts sur la sélection et l’utilisation des médicaments essentiels s’est tenue du 20 au 24 avril 2015 au Siège de l’OMS. 
Le Comité d’experts, composé de spécialistes reconnus du monde universitaire, de la recherche et des professions médicale et pharmaceutique,  a étudié 77 demandes d’ajouts de médicaments à la 18e liste modèle de l’OMS des médicaments essentiels et à la 4e liste modèle de l’OMS des médicaments essentiels destinés à l’enfant.
Cette année, le Comité a souligné « combien il était urgent de prendre des mesures visant à promouvoir un accès et une utilisation équitables de plusieurs nouveaux médicaments hautement efficaces, dont certains coûtent actuellement trop cher, même pour les pays à revenu élevé ».
«Lorsque de nouveaux médicaments efficaces apparaissent pour traiter des maladies graves et répandues en toute sécurité, il est fondamental de garantir que toutes les personnes ayant besoin de ces médicaments puissent les obtenir», a déclaré le Directeur général de l’OMS, le Dr Margaret Chan. «Le fait de les inscrire sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS est un premier pas dans cette direction.»

De nouveaux traitements contre l’hépatite C

L’hépatite C touche environ 150 millions de personnes et tue environ 500 000 personnes dans le monde chaque année, lorsqu’une infection chronique évolue vers la cirrhose et le cancer du foie. 
La maladie est présente aussi bien dans les pays à revenu élevé que dans les pays à revenu faible, avec des concentrations plus élevées dans plusieurs pays à revenu faible ou intermédiaire.
Encore tout récemment, le traitement contre la maladie ne présentait que peu d’avantages thérapeutiques et avait de graves effets secondaires. Cinq nouveaux médicaments – des antiviraux à action directe par voie orale – sont récemment arrivés sur le marché. La forme chronique de l’hépatite C, qui était une maladie à peine contrôlable, est devenue une maladie curable grâce à ces médicaments, qui ont peu d’effets secondaires et sont très bien tolérés par les patients. Ces cinq produits, notamment le sofosbuvir et le daclatasvir, ont été inscrits dans la liste. « Néanmoins, leur prix élevé les met hors de la portée de la plupart des gens qui en ont besoin », souligne l’OMS..
«Les traitements contre l’hépatite C évoluent rapidement, avec plusieurs nouveaux médicaments sûrs et très efficaces qui sont arrivés sur le marché et de nombreux autres en cours de développement», a expliqué le Dr Marie-Paule Kieny, Sous-Directeur général chargé des systèmes de santé et de l’innovation. «Si des efforts ont été consentis afin de réduire leur prix pour les pays à revenu faible, en l’absence de stratégies uniformes pour rendre ces médicaments plus abordables à l’échelle mondiale, le potentiel d’amélioration de la santé publique sera bien moindre.»

Cancers : 16 nouveaux médicaments dans la liste

Les cancers figurent parmi les principales causes de morbidité et de mortalité dans le monde, avec environ 14 millions de nouveaux cas et 8,2 millions de décès liés au cancer en 2012. Le nombre de nouveaux cas devrait augmenter d’environ 70% au cours des deux prochaines décennies. De nouvelles percées ont été réalisées en matière de traitement contre le cancer ces dernières années, ce qui a poussé l’OMS à réviser cette année l’ensemble de la partie consacrée au cancer dans la liste des médicaments essentiels : 52 produits ont été étudiés et 30 traitements ont été confirmés, avec l’inclusion de 16 nouveaux médicaments dans la liste.
«Certains de ces médicaments ont des avantages significatifs pour la survie des malades atteints de cancers très répandus, par exemple le trastuzumab pour le cancer du sein», a déclaré le Dr Kees De Joncheere, Directeur, Médicaments essentiels. «D’autres schémas hérapeutiques pour des cancers rares comme la leucémie et le lymphome, qui peuvent soigner jusqu’à 90% des patients, ont été ajoutés afin de fixer une norme mondiale.»
La tuberculose reste l’une des maladies infectieuses les plus meurtrières au monde. En 2013, 9 millions de personnes ont contracté la tuberculose et 1,5 million de personnes en sont mortes. Plus de 95 % des décès dus à la tuberculose se produisent dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Alors que pendant environ 45 ans, il n’y avait eu que peu d’innovations au niveau des médicaments contre la tuberculose, cinq nouveaux produits ont été inclus dans la liste des médicaments essentiels. Quatre de ces médicaments, notamment la bédaquiline et la délamanide, luttent contre la tuberculose multirésistante.
Le Comité a également recommandé de soutenir l’utilisation de médicaments hors indications officielles dans les cas où il apparaît clairement que cela présente des avantages non négligeables pour la santé malgré l’absence d’indication homologuée; c’est le cas pour de nombreux médicaments pédiatriques.
«La liste des médicaments essentiels répertorie les médicaments en se fondant sur des données relatives à l’innocuité et à l’efficacité, pas sur les indications approuvées par les autorités nationales ou la disponibilité d’autres produits homologués», a ajouté le Dr De Joncheere. 
Par exemple, lorsqu’il a étudié la demande visant à inclure le ranibizumab pour le traitement des maladies oculaires graves comme la dégénérescence maculaire, le Comité s’est penché sur la base de connaissances et sur la différence de prix avec le bévacizumab, le médicament actuellement répertorié. Il a décidé de maintenir le bévacizumab comme médicament de choix, rejetant la demande relative au ranibizumab.

«Il est important de comprendre que la liste des médicaments essentiels est le point de départ, pas la ligne d’arrivée», a conclu le Dr Kieny. «Son objectif est de donner des orientations concernant le classement des médicaments par ordre de priorité selon des critères cliniques et de santé publique. Le plus difficile est ensuite de faire en sorte que ces médicaments soient effectivement à la disposition des patients.»


Source : OMS

jeudi 14 mai 2015

Le tabagisme est l'épidémie évitable la plus importante au monde !

La consommation du tabac reste la 1ère cause de mortalité évitable, et tue chaque année 73.000 personnes en France. Chaque 31 mai est la journée mondiale sans tabac, l'occasion de rappeler les bonnes méthodes pour arrêter de fumer.


Pour accompagner les personnes qui souhaitent arrêter de fumer, le 39 89 de Tabac info service répond à toutes vos questions sur le tabac et permet de bénéficier d'un suivi personnalisé et gratuit par son équipe de tabacologues.

Pour plus d'informations

mardi 12 mai 2015

Des puces électroniques microscopiques dans vos médicaments

Proteus Digital est une société qui a développé des puces électroniques de la taille d’un grain de sable et qui les met dans les médicaments sur ordonnance.
Ces puces électroniques sont activées par les sucs gastriques de l’estomac. Elles transmettent alors un signal à votre médecin.
Ce signal indique combien vous avez pris de médicaments, à quelle heure, avec quoi…
Officiellement, c’est « pour votre bien ».
Le but officiel est de vous aider à mieux vous soigner : en vous signalant que vous oubliez de prendre vos médicaments, en vous envoyant directement une nouvelle boîte lorsque vous terminez la dernière, en informant votre médecin de ce que vous avez fait depuis votre dernière consultation.
En allant plus loin, on pourrait même imaginer que l’ambulance vienne vous chercher directement lorsque les puces signaleront que vous avez pris au même moment deux médicaments incompatibles !
 


Système approuvé aux Etats-Unis...

Cela fait déjà trois ans que le système de Proteus a été approuvé par les autorités de santé américaines . Il est donc en train d’être déployé là-bas.
Autant dire que ce n’est qu’une question de mois avant que cela n’arrive en Europe. (1)
Le problème est que le projet réel de Proteus va bien au-delà d’une préoccupation pour notre bien-être et notre santé.
Le pot-aux-roses a été dévoilé par un article qui vient de paraître dans le Wall Street Journal. Le but réel de Proteus est de :
« résoudre un problème partagé par les médecins, les compagnies pharmaceutiques, et les assurances santé : les gens ne prennent pas toujours leurs médicaments, ce qui peut entraîner des résultats plus mauvais pour la santé, réduire les ventes de médicaments, et augmenter les dépenses de santé… pour prendre des parts de marché, le système Proteus doit prouver qu’il parvient à augmenter le rythme auquel les patients prennent leurs médicaments… »
C’est cela, ni plus ni moins : un système qui vise à augmenter la consommation de médicaments.
Si nous laissons faire, Big Brother saura bientôt quand chacune des pilules qui nous ont été prescrites atteindra notre estomac. Et il saura nous rappeler à l’ordre pour nous faire ingurgiter nos médicaments.
Je ne veux pas paraître pessimiste, mais…
« D’accord, mais cela ne va pas réduire mon libre-arbitre. Si je ne veux pas avaler le médicament, ce n’est pas la puce à l’intérieur qui y changera quoi que ce soit », m’a répondu un ami.
J’espère qu’il a raison.
Mais je me méfie.
Une fois que ce système sera généralisé, qu’est-ce qui empêchera les autorités de prévoir, toujours « pour notre bien », un système de bonus malus, avec sanction financière pour les « mauvais patients » qui ne prennent pas tous leurs médicaments ?
Les autorités partent du principe que ce sont elles qui détiennent forcément la vérité médicale. Que les traitements qu’elles approuvent sont toujours les meilleurs pour la santé.
Celui qui pense autrement, celui qui ne se soigne pas comme on le lui demande, devient automatiquement à leurs yeux une sorte de coupable, qui fait exprès de rester malade.
Pire, il impose un coût indu à la communauté.
Il devient logique, moral même, de prendre des mesures contraignantes pour le faire rentrer dans le droit chemin. Ne serait-ce qu’au nom des économies budgétaires, de la « rationalisation financière » et de la « solidarité ».
J’espère me tromper, évidemment. J’espère que ces puces électroniques dans les médicaments ne serviront jamais à nous sanctionner parce que nous avons été de « mauvais patients » qui ont cherché à privilégier les produits naturels par rapport aux médicaments chimiques sur ordonnance.
Cependant, le Wall Street Journal signale que d’autres start-up sont sur la piste des médicaments mouchards : MeadWestvaco Corp et Express Scripts Holding Co. Et cela ne me dit rien qui vaille.
Affaire à suivre, donc.
À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

Pour plus d'informations

1) Bien évidemment les propos tenus n'engage que l'auteur, car si effectivement en Europe ce type de surveillance médicamenteuse était mis en route (avec toutes ses dérives possibles...) ce serait inacceptable pour les citoyens  et citoyennes, à quand une puce à la naissance ?

mardi 3 mars 2015

Louisiane: une bactérie mortelle retrouvée hors d'un laboratoire

Les autorités de Louisiane, aux Etats-Unis, cherchent à savoir comment une bactérie dangereuse et souvent mortelle s'est retrouvée à l'extérieur du laboratoire d'un centre de recherche de haute sécurité. La bactérie est classée comme agent pouvant être utilisé pour le bioterrorisme.

L'incident est sans doute survenu en novembre 2014 ou plus tôt au National Primate Research Center de Tulane, situé à environ 80 kilomètres de La Nouvelle-Orléans, a rapporté dimanche le journal "USA Today". L'étendue de la contamination demeure inconnue, mais les autorités affirment que la population ne court aucun risque.
Le laboratoire travaille sur un vaccin contre cette bactérie. Cette dernière est appelée Burkholderia pseudomallei ou bacille de Whitmore. On la trouve principalement en Asie du Sud-Est et dans le nord de l'Australie. Elle peut se transmettre à l'homme et à l'animal par contact avec un sol ou de l'eau contaminé.

Les autorités ont indiqué que la bactérie n'avait pas été détectée sur les terrains appartenant au centre, même si quatre singes rhésus gardés dans des enclos extérieurs sont tombés malades. Deux d'entre eux ont été euthanasiés, selon "USA Today".
Inspectrice malade
Une inspectrice fédérale est également tombée malade après avoir visité le centre, mais il est possible qu'elle ait été exposée à la bactérie avant sa visite, car elle a effectué plusieurs voyages à l'étranger. Selon le centre de recherche, les singes auraient été infectés lors d'un traitement à l'hôpital vétérinaire du complexe.
Le directeur du laboratoire a indiqué que 39 échantillons de sol et 13 échantillons d'eau provenant des terrains de l'établissement avaient été testés, sans qu'aucune trace de la bactérie ne soit détectée. Mais selon "USA Today", trop peu d'échantillons ont été testés pour que cette bactérie, difficile à détecter, puisse être trouvée.
Des responsables jugent nécessaire que les investigations se poursuivent, rapporte le quotidien.
"Le fait qu'ils ne puissent pas établir comment cette diffusion a pu intervenir est très préoccupant", a déclaré à "USA Today" Richard Ebright, un expert en sécurité biologique de la Rutgers University, dans le New Jersey.

Source: ats